Pièces à lire pièces à entendre
Les 6ème 7 avec Mme Dedeban et le Théâtre de la Cité ont participé au dispositif Pièces à lire Pièces à entendre. Ils vous présentent les enregistrements des extraits de deux pièces contemporaines, "Le préambule des étourdis" et "Antigone". Ces enregistrements ont été envoyés à la classe de CM2 de l'école Benezet. Vous les trouverez sur le padlet du Théâtre de la Cité en cliquant ICI
Veuillez trouver ci-dessous l'enregistrement d'Antigone.
Voici le compte-rendu de la sortie au Théâtre de la Cité.
Les 6ème 7 en sortie au théâtre.
Lundi 31 mai, nous sommes allés voir une pièce de théâtre, le préambule des étourdis, d’Estelle Savasta au théâtre de la Cité à Toulouse. Trois autres classes assistaient également à cette représentation dans le cadre du projet PAL-PAE.
C’est l’histoire d’un jeune garçon, nommé Anatole, qui « traîne des casseroles ». Ces casseroles représentent les handicaps de ce garçon : timidité, problème de communication avec les autres, difficultés à s’intégrer dans un groupe…
Le décor, les lumières, les accessoires installent une atmosphère magique.
La mise en scène est simple mais efficace : le comédien est seul sur scène, il ne fait que mimer , en suivant une voix off. Derrière une vitre translucide bleutée, des ombres passent, regardent ; Anatole tente de communiquer par signes. Parfois, les silhouettes vont lui répondre. Il est entravé par des casseroles , des cordes qui le bloquent, qui entravent ses mouvements, ses déplacements – et du coup ses pensées -
Petit à petit , il se libère de ces problèmes, notamment par les « ateliers » de modelage. A la fin, il établit le contact avec Miette, une jeune fille.
A la suite du spectacle, nous avons rencontré Estelle Savasta et les comédiens. Nous avons pu leur poser des questions.
Le titre a été choisi car l’auteure avait dans l’idée d ’écrire une pièce pour adulte, les étourdis. En fin de compte, seul le préambule a été écrit.
Le thème des étourdis renvoie aux propres « casseroles » de l’auteure enfant.
Pour écrire ce spectacle, E. Savasta a travaillé pendant un an dans une école avec des élèves. Elle a constaté que tout le monde traînait ses « casseroles ». Voilà comment – nous a-t-elle dit – est née la pièce.
La représentation du spectacle avec cette mise en scène a changé notre vision de la pièce. La lecture du texte nous avait désorienté, mais le spectacle nous a éclairé et nous avons plus apprécié cette œuvre.
Les 6ème 7 en sortie au théâtre.
Lundi 31 mai, nous sommes allés voir une pièce de théâtre, le préambule des étourdis, d’Estelle Savasta au théâtre de la Cité à Toulouse. Trois autres classes assistaient également à cette représentation dans le cadre du projet PAL-PAE.
C’est l’histoire d’un jeune garçon, nommé Anatole, qui « traîne des casseroles ». Ces casseroles représentent les handicaps de ce garçon : timidité, problème de communication avec les autres, difficultés à s’intégrer dans un groupe…
Le décor, les lumières, les accessoires installent une atmosphère magique.
La mise en scène est simple mais efficace : le comédien est seul sur scène, il ne fait que mimer , en suivant une voix off. Derrière une vitre translucide bleutée, des ombres passent, regardent ; Anatole tente de communiquer par signes. Parfois, les silhouettes vont lui répondre. Il est entravé par des casseroles , des cordes qui le bloquent, qui entravent ses mouvements, ses déplacements – et du coup ses pensées -
Petit à petit , il se libère de ces problèmes, notamment par les « ateliers » de modelage. A la fin, il établit le contact avec Miette, une jeune fille.
A la suite du spectacle, nous avons rencontré Estelle Savasta et les comédiens. Nous avons pu leur poser des questions.
Le titre a été choisi car l’auteure avait dans l’idée d ’écrire une pièce pour adulte, les étourdis. En fin de compte, seul le préambule a été écrit.
Le thème des étourdis renvoie aux propres « casseroles » de l’auteure enfant.
Pour écrire ce spectacle, E. Savasta a travaillé pendant un an dans une école avec des élèves. Elle a constaté que tout le monde traînait ses « casseroles ». Voilà comment – nous a-t-elle dit – est née la pièce.
La représentation du spectacle avec cette mise en scène a changé notre vision de la pièce. La lecture du texte nous avait désorienté, mais le spectacle nous a éclairé et nous avons plus apprécié cette œuvre.